Jean Fornage, un de nos fidèles lecteurs, nous écrit : "J’ai quelques photos de groupes de militaires de la guerre 14-18 sur lesquelles sont inscrits les noms de ces personnes. Peut-être que certains de vos lecteurs y retrouveraient un ancêtre."
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Accueil > Articles > La vie militaire > « Nos Poilus »
Dernier ajout : le 30 mars.
Jean Fornage, un de nos fidèles lecteurs, nous écrit : "J’ai quelques photos de groupes de militaires de la guerre 14-18 sur lesquelles sont inscrits les noms de ces personnes. Peut-être que certains de vos lecteurs y retrouveraient un ancêtre."
Connaissez-vous le doyen des poilus de la Grande Guerre 1914-1918 ? Rassurez-vous, je ne le connaissais pas moi-même voici seulement quelques jours. L’acquisition d’une carte postale m’a permis de découvrir l’homme, pionnier de la laïcité et son incroyable existence. Tout en vous exposant la méthodologie utilisée, je vous propose aujourd’hui de vous raconter l’histoire atypique de Charles Surugue.
Il n’existe pas officiellement de biographie de Charles Surugue, sa notoriété dépasse péniblement les (...)
La guerre est décidément omniprésente dans la vie de nos ancêtres de la première moitié du XXe siècle. Jean-Joseph et André-Michel étaient respectivement mes arrière-grand-oncle et arrière-grand-père paternels. Jean-Joseph est mort à la guerre de 14. Mais bizarrement, moi j’ai toujours entendu parler d’un « Clément » mort à la Grande guerre...
Inscrit sur le Monument aux Morts d’Avrillé (Maine et Loire) depuis 1921, le nom de Laurent Suteau n’avait jusqu’alors rien révélé de sa participation à la Grande Guerre. Savait-on tout juste qu’il était porté disparu ou prisonnier depuis début 1915… Un nom gravé dans la pierre, mais qui était-il ?
L’an dernier, Geneanet nous a proposé la une du Petit Journal du 8 septembre 1919 commémorant la 1re bataille de la Marne autour de Meaux. J’ai eu la curiosité d’aller consulter ce numéro sur Gallica. J’y ai relevé deux entre-filets, l’un d’un intérêt historique, l’autre plus anecdotique. Les deux m’ont touchée pour des raisons différentes mais finalement, l’un comme l’autre concernaient la grande histoire.
Henri Martin, né le 2 mars 1894, est mort au combat le 27 mars 1916, peu après ses 22 ans... Il y aura 104 ans cette année en mars. Nous lui rendons hommage.
Il y a 100 ans une génération d’hommes fut sacrifiée pour sauver la France. Nous sommes tous concernés par cette hécatombe : ces hommes sont nos aïeux directs ou indirects. Chaque famille a été impactée par ce conflit et a perdu un père, un frère ou un fils. Certains sont revenus, un grand nombre a disparu et d’autres ont été inhumés dans des cimetières militaires.
André Poirier m’écrit en novembre dernier : "En ce centième anniversaire de la fin de la Grande Guerre, je souhaiterais faire parvenir deux cartes courriers militaires émouvantes d’un papa soldat au 4e régiment d’infanterie d’Auxerre adressées à sa fille, Ginette Oudry, demeurant à Auneuil (Oise) pour son treizième anniversaire. Impossible de retrouver la destinatrice ; plus exactement ses descendants. Les cartes sont datées de 1916. Cette personne ne fait pas partie de ma famille : ces cartes ont été trouvées par mon frère en faisant des travaux dans une cave, sur Paris. Depuis, celui-ci est décédé. Merci de votre aide."
A la fin du premier épisode, nous avions laissé notre sergent Thomas, alors qu’après avoir quitté le camp de Bexten-Listrup fin août 1915, il se dirigeait, encore une fois en train, vers une nouvelle destination. Ce fut le camp de passage de Soltau qu’il connaissait déjà. Mais pour combien de temps ? Voici la suite du récit de la captivité de Charles Thomas, de fin août 1915 à son retour en France en janvier 1919.
Dans « L’Histoire du Carnet Oublié », j’ai raconté la découverte, dans le grenier de notre maison familiale, du carnet de campagne d’un poilu de 14-18, inconnu de ma famille. J’expliquais ma démarche pour l’identifier et la découverte de son petit fils à qui je donnais ce carnet dont il ignorait l’existence. Ce dernier m’a confié les mémoires de son grand-père, rédigées plusieurs années après la guerre, m’encourageant à écrire la suite de cet épisode dramatique de la vie du sergent Charles Thomas.
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