Après le discours de Robespierre devant la Convention, celle-ci institue par le décret du 18 floréal an II, une fête pour célébrer l’anniversaire de l’exécution, place de la Concorde, du Roi Louis XVI, le 21 janvier 1793.
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Accueil > Articles > Les institutions
Nos ancêtres et les institutions.
Dernier ajout : le 6 avril 2021.
Après le discours de Robespierre devant la Convention, celle-ci institue par le décret du 18 floréal an II, une fête pour célébrer l’anniversaire de l’exécution, place de la Concorde, du Roi Louis XVI, le 21 janvier 1793.
Je vous ai conté, il y a quelques mois,une histoire intitulée Les mariés démariés qui se déroulait à Anzat le Luguet dans le Puy-de -Dôme. Un mariage avait été annulé parce que célébré par une femme. Il me manquait un pan de cette histoire. Grâce à l’amabilité de Guenoë, que je remercie, j’ai pu récupérer le jugement du tribunal d’Issoire, qui intervient entre le premier et le deuxième mariage du couple Martin/Chandezon.
« Cinq » enfants des Hautes-Alpes, reconnus « coupables », condamnés et conduits à la Colonie Pénitentiaire de l’Ile du Levant, y décèdent entre 1861 et 1872.
Comment est administré au quotidien l’hôpital de Béziers (qui accueille hommes et femmes malades, et a soin des pèlerins et des orphelins), par les religieuses qui en ont la direction en 1646 ?
Constituées de lourdes grilles en fer, les barrières de l’octroi étaient situées aux principales voies d’accès des villes. Elles servaient à contrôler le transit, entraver la contrebande et à percevoir les taxes (l’octroi) au profit de la mairie (c’était une part importante des recettes municipales). Ces taxes étaient exigées sur le bétail et certaines marchandises pénétrant dans la ville (vins, alcools, comestibles, combustibles, matériaux de construction, bois d’ouvrage et fourrages). (...)
Au travers de la condamnation d’un homme, en 1840, on se rend compte de la disproportion des peines prononcées, par rapport aux délits commis de nos jours.
Il arrivait à nos ancêtres d’avoir à assumer des fonctions qu’ils n’avaient pas sollicitées ; je veux parler des charges publiques. Parmi celles-ci, on peut compter la tutelle et la curatelle, qui apparaissent fréquemment dans les registres de l’Ancien Régime, du fait de la forte mortalité de cette époque. Une autre, moins connue, est la charge de séquestre.
Le sujet appelle bien sûr d’autres développements que l’illustration qui en est faite ici. Il me semblait toutefois intéressant (...)
A partir de l’étude de plusieurs testaments (un marquis, un notaire et un journalier), Jean Monange nous présente les monnaies françaises puis il nous donne quelques éléments sur les niveaux de vie sous l’Ancien Régime.
Il y a deux cents ans, la loi du 18 Germinal An III (7 avril 1795) instituait le système métrique ; il ne fut rendu obligatoire que sous la monarchie de juillet par la loi du 4 juillet 1837. La plus joyeuse anarchie régnait précédemment, puisque les mesures variaient d’une province à l’autre, d’une ville à l’autre et même d’un village à l’autre.
La lecture des documents anciens, notamment les actes notariés, est souvent rendue difficile par l’abondance des références à des unités complexes de poids et mesures. Pour comprendre cette diversité dans le temps et dans l’espace, il nous a semblé utile de donner un tableau des unités les plus courantes sous l’Ancien Régime.
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