Fin mai 1917 : le soldat Revon, depuis les tranchées de la Main de Massiges, écrit une dernière lettre à sa chère épouse Marie.
Désespéré, il a pris sa décision : "Si je meurs, je n’ai fait de mal à personne ...Si j’ai été poussé à bout à ce point... C’est tous mes camarades qui m’ont fait ce coup là....Et pourtant, nous avons fait notre devoir...il y en a beaucoup qui n’en aurait pas tant fait..."